École de vertus, la Chevalerie oblige le Chevalier à des devoirs :
Les qualités du Chevalier idéal sont la sagesse, la prouesse, la générosité et la fidélité.
La vaillance aussi bien dans le combat que dans dans la vie quotidienne, le preux chevalier des chansons de geste est « sans peur et sans reproche », comme l'est encore le chevalier Bayard au XVI° siècle..
Pour le Chevalier, l'épée est considérée comme une arme sacrée et mystique. Elle symbolise l'honneur, la distinction, la bravoure et le courage. On jurait sur la croix de son épée. Quel enfant ne s'est jamais armé d’une branche ou d'un bout de bois pour seule épée, et avec son imagination n'a pas joué à être un chevalier.
La chevalerie n'est pas héréditaire et s'acquiert par l'adoubement. l’adoubement est la cérémonie au cours de laquelle le nouveau chevalier se voit remettre solennellement les armes par son suzerain, à partir du XII° siècle, la cérémonie de l’entrée en chevalerie prend un caractère sacré.
Nous sommes nés libres, pouvons changer les mœurs de la société et sa façon de penser, et nous ferons de notre civilisation ce que nous voulons qu'elle soit.
L’Ordre Souverain de Santa Ghjulia, une association à but non lucratif doté d'une souveraineté fonctionnelle, est une organisation caritative.
L'O.S.S.G veut cultiver :
- l’esprit de service désintéressé.
- l’attention au monde dans sa dimension tant matérielle que spirituelle.
L'organisation de notre Ordre se fonde dans le respect d’un Code Moral et d’une Règle commune à tous nos membres.
La Chevalerie du Moyen-âge était une institution féodale de Chevaliers avec des idéaux qui lui sont associés. Être Chevalier aujourd'hui, c'est s'inspirer de ces valeurs chevaleresques et suivre l'exemple de ces hommes épris d'un Idéal élevé en perpétuant ces nobles traditions.
Le combat du chevalier a changé de nature mais, il reste d'actualité dans un monde où les valeurs humaines sont si souvent bafouées.
L’Ordre du Temple a laissé dans l’histoire une empreinte profonde.
De nos jours, l'Ordre de Malte est mondialement connu.
En Grèce, les hippeis sont des citoyens assez riches pour pouvoir entretenir et équiper, à leurs frais, un cheval de guerre. Ils constituent à la fois la cavalerie dans l'armée et un groupe privilégié dans la société.
À Rome, les chevaliers ou equites sont des citoyens servant dans la cavalerie avec une monture fournie et entretenue par l'État.
C’est au Moyen Age que l’on voit apparaître les premiers ordres de chevalerie. La légende de l’empereur Charlemagne et de ses pairs allant à cheval de lieu en lieu, formant un corps d’élites qui n’est pas sans rappeler le roi Arthur et ses chevaliers de la Table Ronde constitue comme les prémices modernes de l’idéal chevaleresque qui, pourtant, prend ses racines dans des traditions beaucoup plus anciennes.
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Nous ne désirons pas coopter de simples curieux mais des personnes se retrouvant dans notre idéal. Cet idéal chevaleresque est le plus intéressant parce qu'il est idéal. En ce XXI° siècle, cette chevalerie peut œuvrer, selon l'idéal chevaleresque ancestral.
"Chevalerie du ciel que je contemple, fais oraison pour ceux qui sont sur terre."
(DANTE, La Divine Comédie)
Homme,
Femme,
tu as deux oreilles pour entendre,
deux yeux pour percevoir, deux mains pour exécuter.
Ordre Souverain de Santa Ghjulia